La France est un pays à longue tradition d’orpaillage. Mais, sans être un Eldorado, cette activité, en tant que sport au contact de la nature, suscite, avec les nouvelles techniques, un nombre d’adeptes qui est croissant. Le nombre d’orpailleurs amateurs est inconnu car une grande majorité prospectent de manière individuelle. D’autres le font dans des associations spécifiques d’orpaillage, ou dans les sections orpaillage des clubs de minéralogie.
Sommaire
En France, il existe deux types de placers aurifères.
les placers de plages et les marmites.
Les marmites sont des anfractuosités rocheuses qui piègent l’or.
Les cours d’eau torrentiels, en raison de leur forte pente, ne contiennent que des marmites car le courant rapide empêche la déposition de l’or. Les rivières de plaine à pente moyenne possèdent à la fois des placers de plages et des marmites. Dans les régions où l’or est rare et où les placers de plages ont de faibles teneurs, les marmites peuvent contenir des concentrations élevées d’or. Les départements du Gard et de l’Ariège, riches en or, ont des placers de plages et des marmites. Ailleurs, l’or doit être recherché principalement dans les marmites en raison de leur capacité à concentrer l’or. Toutes ces régions peuvent être intéressantes pour la récupération de l’or dans les sablières. Les teneurs en or sont de 0,2 décigrammes à 4 grammes par mètre cube dans les plages, et en moyenne de 10 grammes par mètre cube dans les marmites.
les placers de plages dans les terres
L’or se trouve dans des placers, des plages de graviers situées dans les rivières, qui contiennent des concentrations d’or. Dans ces placers, l’or natif apparaît sous forme de particules plus ou moins grosses, telles que des paillettes ou des pépites, mélangées au sable des rivières, et provient de la désagrégation de filons. L’or se trouve également dans des marmites, qui sont des anfractuosités rocheuses au fond du lit des rivières.
les placers de plages sur le littoral atlantique.
Dans les zones littorales où l’érosion est intense, ces accumulations de minéraux lourds deviennent de véritables placers, qui peuvent s’étendre sur plusieurs centaines de mètre de long. C’est le cas sur le littoral atlantique au sud de l’estuaire de la Gironde (comme à Soulac a la plage de L’Amélie pour ses grains d’Or) et du bassin d’arcachon au pied de la dune du Pyla)
Les placers littoraux les plus spectaculaires restent néanmoins ceux de la Côte d’Argent. Nombre des affluents (indirects) de la Gironde sont aurifères (L’Isle, la Dordogne, l’Ariège, le Lot….) et les sables abandonnés à l’océan renferment de nombreuses particules d’or.
Initialement très dilué dans le sable, cet or se trouve concentré (selon le processus évoqué précédemment) dans les zones où l’érosion est particulièrement active, comme au sud de l’estuaire de la Gironde (plage de l’Amélie, ou au pied de la dune du Pyla.
Une coupe dans les sables de ces dernières plages permet d’observer une succession de couche sombreoù le pourcentage des minéraux lourds peut atteindre 96% et cela sur plusieurs centimètres d’épaisseur. Habituellement l’or des placers marins se présente sous forme de minuscules paillettes (en moyenne, quelques dixièmes de millimètre, à peine).
L’or de la Côte d’Argent montre une forme très particulière, en grains très émoussés et en forme de cupule, sans doute en liaison avec un long séjour dans le remous des vagues et probablement aussi avec une phase de polissage par le vent (éolisation)
Méfiance quand même envers des placers donnés par des livres et des revues.
Ces listes de placers sont souvent recopiés de vieux livres datant de 50 ans. La règle veut qu’un orpailleur ne donne pas ses bons coins, ce qui est normal s’il ne veut pas qu’ils soient pillés.
La prospection minière à la batée dans le Massif Armoricain donne des teneur en or, pour des alluvions des petites rivières, de 2g/M3, mais sur des alluvions lavées, débourbées et tamisées. Vu que c’est assez argileux le tout venant fournit des teneur de 20 à 50 fois moindre.
Malheureusement certains livres et certaines revues induisent les lecteurs en erreur en donnant bien les teneurs de 2g /M3 mais en omettant de dire qu’elles sont lavées, ce qui changent sensiblement tout.
En plus les rivières Bretonnes sont petites avec des rives assez abruptes. Vu que la pente est faible, il y a peu de concentration et l’or se présentent sous forme de grains minuscules. Des trouvailles de petits grains > 0,1 grammes sont néanmoins possible, mais c’est une question de chance.
Voici la liste des rivières aurifères de France.
AIN Le Rhône. L’Ain. ➔ Ou trouver de l’or natif dans l’Ain. | La Haute-Loire L’Allier… L’Alagur. L’Allagnon. L’Alagnon a été orpaillé dans la région du Cézallier et de la rivière Alagur. Minerais aurifères dans plusieurs concessions d’antimoine : Marmeissat, le Chaylat, Chazelles, Lubilhac, Espeluches. L’or se trouve un peu partout à l’état microscopique. Préfectures : 6,avenue Général de Gaulle 43000 LE PUY EN VELAY Tel:04-71-09-43-43 | |
ALLIER L’Allier. La sioule. Concession de Nades pour antimoine. ➔ Paillettes d’or dans l’Allier | Hautes-Pyrénées présence d’or en rivières de l’Adour. Le Gave de Pau. Présence d’or à Ségalas. On trouve de très fines paillettes d’or dans les alluvions du Gave de Pau, et de l’Adour. De l’or natif dans du quartz, à plus de 2000 mètres d’altitude dans le Val d’Arrens. Préfecture : place Charle de Gaulle 65000 TARBES Tel : 05-62-51-44-44 | |
Haute-Garonne Or alluvionnaire dans les sables de la Garonne, ainsi que dans plusieurs autres cours d’eau. Expérience d’orpaillage à Martres- Tolosane. Au XVII° siècle, l’Hôtel des Monnaies de Toulouse recevait pour 2000.000 livres d’or par an. | ||
ALPES DE HAUTE-PROVENCE; Mine d’or à Mauren et à Fouilloise dans un lieu inaccessible. Paillettes dans la rivière Ubaye. | HAUT-RHIN Le Rhin, L’Isle. ➔ Recherche d’or haut RHIN et bas RHIN | |
AISNE : En 1809, on aurait trouvé une pépite de 9 kg près de Saint- Quentin | Haute-Saône Teneurs d’or importantes dans les filons de cuivre de la région de Château-Lambert, et dans ceux de Loury et du Crémaillot, à Planchers-les-Mines. | |
ALPES-MARITIMES La Tinée. L’estéron. La Vésubie. ➔ Où trouver de l’or dans les Alpes-Maritimes? | HAUTE-SAVOIE: présence d’or en rivières de l’Arly, les Usses. le Rhône, l’Arve, le Fier, le Chéran. ➔ Chercher de l’or en haute Savoie. | |
L’ARDÈCHE La Ganiére. L’Eyrieux, Le Rhône, Le Chassezac. Le Doubs. ➔ Chercheur d’or orpailleur en Ardèche. | HAUTE-VIENNE L’Isle. L’Aurence. La Vézère. La Loue. La Glane. ➔ Prospection d’or en Haute-Vienne. | |
ARIÈGE L’Ariège. Le Léze. L’Ordas. Le Salat. Le Volp. L’Artix. L’oriége. La Bouigane. L’Arac. Le Nert. L’Ariège, le Salat (voir explication plus haut), L’Arize. Un grand nombre de ruisseaux sont réputés aurifères, mais attention dans le département de l’Ariège certains cours d’eau sont interdits à toute prospection par un arrêté « bio top » renseignez vous auprès de la préfecture à Foix. Ce département est un des plus célèbres de France pour l’or. Il tire d’ailleurs son nom de la rivière l’Ariège qui le traverse, et dont l’étymologie aurigéra ne fait pas de doute. Les sables de l’Ariège ont été intensivement exploités ainsi que ceux de la Haute-Garonne, probablement dès l’époque gallo-romaine jusqu’à la fin du XVIII ème siècle. Les derniers orpailleurs ont cessé leur activité probablement vers 1812 à 1870, et a reprise avec l’arrivée de Jean-Claude Le Faucheur en 1974 dont j’ai suivi les traces depuis 1986. Les deux rivières principales sont » l’Ariège » de Crampagna à Saverdun et le « Salat » de Seix à Soueix et de Saint-Girons à l’embouchure de la Garonne. a ces endroits, les affluents de la rive gauche de l’Ariège et ceux de la rive droite du salat sont presque tous aurifères. L’orpaillage sur les berges de l’Ariège avait lieu surtout entre Crampagna et Saverdun ainsi que le signalait déjà Dietrich. Les rives les plus travaillées étaient dans les environs des communes de Bénagues, Rieux, Varillhes et Pamiers. Les ruisseaux qui se jettent dans l’Ariège et qui érodent les dépôts tertiaires sont eux-mêmes aurifères, les ruisseaux de Ferries, la Grosse Milly, la Rigue, le Trébout, les ruisseaux de Bénagues, l’Artix, l’Estrique, de Rieux, de Peyreblanque, certains ne sont même pas des ruisseaux mais de simples rigoles. D’autres petites rivières ont été orpaillées, l’Arize a été orpaillée aux environs de Durban,le tariol, le Pitrou et la Béouze près de la Bastide de Sérou, le Volp, le ruisseau de Loubens, l’Artillac, l’Ordas à Durban, et le ruisseau descendant de Ségalas à Ordas, le Saint-Martin,de Mazères,de tarol, Scoutex, l’Arize,dans la région de Durban,de taliol, de Pitrou, à l’est de la Bastide, la Rigue, dePailhès, la Goutte, Barrin, Peyreblanque, la Carmille, Dalou, la Lèze aux alentours du village de Paillhes, le ruisseau proche de Monesple, le vicdessos et ses affluents ont quelques paillettes, la Bouigane, le Boatès, l’Arac, le Nert, l’Oriège si vous avez de la chance. Le Salat a été aussi intensivement orpaillé dans le bassin de Seix à Soueix, après les trouvailles sont plus fortuites et de nouveau de Saint-girons à Lacave les dépôts deviennent plus riches, Lacave marque la fin du département de l’Ariège mais le Salat continue à être aurifère jusqu’à l’embouchure de la Garonne. C’est d’ailleurs sur cette rivière que je cherchais mes paillettes, de l’or titré à 21,5 carats soit 896/1000. | HÉRAULT La Vis. l’Orb, l’Hérault.(Saint-Bauzille de putois à Ganges) L’Hérault est aurifère plus spécialement près de saint-Bauzille-de-Putois. On peut encore citer l’Orb, et la Vis plutôt pauvre ➔ Ou je peux trouver de l’or en Hérault. | |
AUDE la Blanque. Une mine d’or « Salsigne » fermée à l’heure actuelle, mais il reste les ruisseaux environnant à prospecter. Les alluvions de la Blanque sont aurifères à Bugarach. ➔ Comment trouver de l’or dans l’Aude. | ILLE-ET-VILAINE présence d’or en rivières de le Meu, le Couësnon, la Cantache, la Vilaine. ➔ Où trouver de l’or en Ille-et-Vilaine? | |
AVEYRON Le Viaur. La Tuyère. Le Lot. ➔ Orpaillage d’or en Aveyron. | LOIRE-ATLANTIQUE Prospection d’or en LOIRE-ATLANTIQUE | |
BAS-RHIN Le Rhin. De l’or dans les formations cristallines anciennes, traces d’or alluvionnaire dans la vallée. ➔ Recherche d’or haut RHIN et bas RHIN | ISÈRE L’Isère. | |
CANTAL La Jordanne. ➔ Chercher de l’or en Cantal. | JURAS : présence d’or en rivières de le Doubs. L’Ognon. La Loue. Le Doubs draine de L’or alluvionnaire, en particulier à Orchamps, près de Dôle. Vestiges d’anciennes mines d’or et d’argent à Antre. Il existait des centres d’orpaillage à Neublans, au Petit-noir et à Longwy. | |
CHARENTE Rivières aurifères de La Glane et La Charente. Or alluvionnaire dans le Glane et dans plusieurs cours d’eau de la région. Traces d’or dans les anciennes mines d’antimoine d’Etagnac. | LA LOIRE : Rivières aurifères de Le Gier, Le Rhône, Le Bosançon, Le Garon. Autrefois de l’or natif aurait été tiré d’une mine d’or à Bissieus, près de Saint-Martin-la-Plaine. En 1945, des travaux furent effectués, sans résultat. Quelques sables aurifères dans le Gier. | |
CORRÈZE : Rivières aurifères de L’Isle, L’Auvezère, la Vézére (traces d’or, sablières), le Loyre. Ces cours d’eau qui prennent naissance sur le plateau du Limousin sont aurifères. Gisements à Meilhards. | LOT De l’or alluvionnaire aux alentour d’Aynac, de Leyme, de Ruègres, de Rudelle avec de plus forte teneur au nord du village d’Anglars. Rivières aurifères de Le Lot, la Dordogne (or au camping de Souillac, 6 petites paillettes à la batée) sablières. Présence dans la terre d’or alluvionnaire à Aynac, Leyme, Ruyeres, Rudelle. De l’or alluvionaire aux alentour d’Aynac, de Leyme, de Ruègres, de Rudelle avec de plus forte teneur de 10 à 12 Gr d’or /tonne au nord du village d’Anglars. Préfecture : place Jean Jaques Chapou 46000 CAHORS Tel : 05-65-23-10-00 | |
CORSE Rivières aurifères de LeTaravo. L’Asco. Des pépites ont été trouvées dans les cours d’eau de la région, avec des inclusions d’oxyde de fer. ➔ chercheur d’or en Corse. | MAYENNE Rivières aurifères de la Mayenne. L’Oudon, les affluents de la Haute Mayenne. | |
COTE D’ARMOR Le Leff. | MORBIHAN Le Blavet, l’Oust et affluents. ➔ Chercher de l’or dans le Morbihan. | |
CREUSE Rivières aurifères de La Verneigettee la Truyére, L’Ardour, La Gartempe. | MOSELLE La Moselle. Or alluvionnaire dans les sables de la Moselle, près de Metz. | |
DORDOGNE l’Isle, la Loue, L’Auvézére (traces d’or). ➔ Comment découvrir de l’or en Dordogne. | PUY-DE-DOME La Burande. L’Allier. La Dordogne. | |
DOUBS Rivières aurifères de Le Doubs et L’Ognon. Nom grec de Besançon : Chrysopolis, la ville d’or. Or alluvionnaire dans le Doubs et dans l’Ognon, ainsi que dans une ancienne mine d’argent, à Beaumes, dans un filon de minerai de fer teneurs importantes. | Pyrénées-Atlantiques Rivières aurifères de le Bastan. Le Gave de Pau. Des mines d’or auraient été exploitées près d’Isturits. Petites teneurs d’or constatées lors de l’exploitation des mines de cuivre de l’ancienne concession de Baigorry. | |
DROME Rivières aurifères de L’Isère et le Rhône. L’Isère, au-dessous de La Roche-de-Gun, et le Rhône près de ce bourg roulent des paillettes d’or aplaties. Des teneurs atteignant 19 grammes à la tonne auraient été constatées. | Pyrénées-Orientales Rivières aurifères de La Tech et le Têt. Concession pour or à Glorianes. Concession intéressante à Serrabonne. N’a cependant pas encore donné lieu à une exploitation. On peut trouver des paillettes d’or dans les alluvions des rivières « la Tech » et « le Têt » qui renferment des alluvions aurifères. La concession dite de Glorianes a été accordée en 1922 avec des teneurs de 20 grammes d’or par tonne. Préfecture : 24, quai Sadi Carnot 66000 PERPIGNAN Tel : 04-68-51-66-66 | |
FINISTÈRE Présence d’or signalée près de Saint-Didier.L’Odet. L’Aulne. ➔ Où chercher l’or dans le Finistère. | Rhône-Alpes Le Rhône, Le Gier. L’Azergue, la Saône. Pyrite aurifère dans 1’ancienne concession de Chessy. Or alluvionnaire dans le Gier inférieur, affluent droit du Rhône, en Amont de Givors. L’orpaillage était très actif à Condrieux, à Saint-Pierre-de-Bœuf, Miribel, Givors et Sainte-Colombe. | |
GARD La Cèze. La Ganière. L’Auzonnet, Le Rieutord, Le Gard, le Gardon d’Alès, le Gardon d’Anduze, le Galeizon, La Ganiére, Le Luech, la Vidourle, le Rhône. L’or alluvionnaire même s’il est présent un peu partout, dans de nombreux ruisseaux mais surtout dans les trois Gardons, celui d’Alès, de Mialet, et d’Anduze. Celui qui suscite le plus d’intérêt est le Gardon d’Anduze de Saint-Jean-du-Gard à son confluent le gardon d’Alès. Les failles dans le bedrock qui affleure dans les Gardons peuvent réserver de très belles trouvailles. ➔ chercheur d’or dans le Gard. Après sa jonction il devient le Gard et a toujours une bonne teneur jusqu’à Sainte-Anastasie. La Gagnière est aurifère (surtout entre le ruisseau d’Abeau et de la Loubatière) est rejoint, la Cèze qui est beaucoup plus riche à partir de son confluent, en aval de Bessèges, sans oublier un autre affluent le Luech près de Chamborigaud. Le Galeizon dans les plaines de Lafare et de Avinières, le Rieutord, l’Auzonnet, la Virdoule petite rivière côtière, le Gardon de Saint-Jean, le Rhône qui traverse le département. | SAVOIE L’Arly. La Leysse. Torrent de Cassy. Présence d’anciennes exploitations gallo-romaines à Orelle. Dans le Beaufortin et la région du Lac d’Aiguebelle, plusieurs gîtes filoniens sulfurés, dont le minerai principal est formé de chalcopyrite et de blende enrobées dans une gangue de quartz, recèlent des traces d’or natif. | |
HAUTE-ALPES La Romanche. ➔ Comment découvrir de l’or en Hautes Alpes. | TARN Le Tarn et Présence d’or également vers Mazamet. Près de Pampelonne, la riviere Viaur est aurifère, l’Agout le serait aussi, l’Orival près de Durfort, et à Trivalle. Préfecture : place de la Préfecture 81000 ALBI Tel: 05-63-45-61-61 | |
HAUTE-GARONNE Le Salat. la Garonne sur tout son cours (hors barrage), à Mancioux, le Neste. La Garonne est aurifère dans les bassins de Labroquère et de Valentine et surtout en dessous de son affluent le Salat, ainsi que dans tout le cours de celui-ci dans ce département. | VAR: L’Aille. Le Grimaud. Le Mourefrey. La Nible. Le Réal | |
Maine et Loire : affluents de la Sarthe et de la Basse Mayenne.Concession Saint-Pierre-Montlimart, pour mispickel aurifère. Présence d’or a Montrevault, Le Fief-Sauvin et Saint-Rémy. Mine et usine de La Bellière, à Saint-Pierre-Montlimart, à 15 km d’Ancenis. Exploitée depuis la plus haute antiquité. Fermée en 1941. | Haute-Dordogne.La Burande à Singles drainant des paillettes des mines « d’or » de la Bessette. | |
Côtes-du-Nord ➔ Trouver minerai d’or Côtes-du-Nord. | Lozére: le coulagnet, la colagne, le Lot. C’est ici que les Gardons, la Céze et le Galeizon ont leur source ! Traces d’or alluvionnaire dans la vallée du Coulaguet près de marvejols en faible quantité. Préfecture : 4, rue Rovère 48000 MENDE Tel: 04-66-49-60-00 | |
Vienne : la Gartempe, L’Aurence. | Saône-et-Loire Quelques paillettes d’or dans la Saône, apportées par le Doubs. | |
Vendée : Minerais aurifères auraient été découverts près de Vouvant, il existe des indications d’une mine d’or dont l’exploitation a été abandonnée depuis longtemps. | Val-d’Oise : Parcelles d’or mêlées au fer limoneux à Seraincourt, et dans l’argile de Pontoise. |
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