La règle est simple : les pièces dites « boursables » donc d’investissements doivent être de qualité TTB à SUP.
Les bullions doivent être neufs, UNC = uncirculated, SUP = état supérieur.
Les lingots doivent simplement être en très bon état.
Dans un premier temps et afin de se familiariser avec l’or et l’argent, nous vous conseillons d’acheter vos pièces chez un professionnel du secteur : numismates, comptoirs. Si vous voulez jouer le jeu des primes, acheter de l’or à la banque de France qui passera commande chez CPRorDevises.
Les bullions doivent être acheter à l’étranger et en particulier en Allemagne, soit en vous déplaçant, soit par correspondance. Il existe de nombreuses boutiques en ligne allemande qui ont fait leurs preuves. Vous trouverez différentes adresses fiables sur ce site. En Allemagne, le paiement se fait le plus souvent par virement bancaire international avec l’IBAN de l’entreprise.
Les lingots doivent plutôt être achetés dans une banque. Les lingotins se trouvent auprès des banques, des comptoirs, plus rarement auprès des numismates. On trouve plus facilement des lingots et lingotins auprès des banques suisses…
Dans un second temps, vous pourrez vous orienter vers les sites d’enchères en ligne qui peuvent proposer plus de choix mais les prix seront toujours au même niveau que chez les professionnels.
Europe: séance de baisse.
Les Bourses européennes terminent cette dernière séance de la semaine dans le rouge, sur fond de craintes sur un nouveau relèvement des taux d’intérêts de la Réserve fédérale lors du FOMC du mois de février. Le bilan, plutôt négatif, de la première valve de résultats trimestriels d’entreprises n’est évidemment pas pour soutenir les échanges.
C’est dans ce contexte, et alors même que la nouvelle baisse de l’euro et le repli des cours du brut en dessous du seuil des 57 dollars à New York (56,8$ le baril de ‘ light ‘, en baisse de 1,7%) aurait pu soutenir les marchés européens, que les scores, tous négatifs, s’étagent à la cloche finale entre -0,2% pour le Bel20 bruxellois et -0,6% pour le Dax30 francfortois.
Les indices paneuropéens DJ Stoxx 50 et DJ Euro Stoxx 50 terminent en baisse de 0,5 et 0,8% respectivement. Le bilan de la séance est particulièrement négatif pour les valeurs technologiques, affectées par la réaction dés investisseurs aux prévisions jugées décevantes de l’américain Ebay et à l’avertissement du japonais Sony.
Le profil de cette séance de vendredi ressemble beaucoup à celui observé la veille à Paris: après un début de séance placé sous le signe d’un rebond assez sensible des valeurs françaises, le CAC40 peine à trouver un second souffle et fléchit sensiblement après la réouverture des marchés US.
Mais alors que le CAC40 avait pratiquement reperdu l’intégralité de son avance, un gain de +0,3% a pu être préservé aujourd’hui et l’indice clôture qui ont servi de support dès le milieu de la matinée.
Wall Street s’était bien inscrit dans le vert comme prévu d’entrée de jeu mais le Nasdaq (-0,35%) ne tient pas ses promesses et le ‘S&P;’, très affecté hier par la faillite de Delphi et le plongeon de General Motors (-10%) menace de retomber dans le rouge.
Les places européennes, pressentant la fragilité du rebond initial des valeurs US, ont nettement consolidé en fin de séance et l’Euro-Stoxx a vu son avance fondre en quelques heures de +0,7 à +0,15% (Amsterdam clôturant même en repli de -0,1%).
Le rebond du Dollar s’est également étiolé après le coup d’accélérateur de lundi après-midi: l’Euro rechute symétriquement de -1,1% en 48H… et la situation politique intérieure invoquée pour justifier les arbitrages en faveur du Dollar.
Aucune statistique macro-économique n’était attendue aux USA ce mardi mais les marchés obligataires, restés fort calmes en Europe ce matin perdent un peu plus d’altitude au fil des heures: les Bunds reculent de -0,2% (les T-Bonds US en font autant… preuve que la tendance sous-jacente se révèle être plutôt baissière depuis la mi-septembre avec la perspective de nouveaux tours de vis monétaires aux USA).