Un exemple typique de fonds fermés conçus de manière solide est celui des fonds de commerce immobilier de la gamme Mercatus de fairvesta. Ils garantissent une stratégie intelligente, la plus grande sécurité possible pour les capitaux investis grâce aux investissements dans des biens réels, une protection contre l’inflation grâce à des biens immobiliers de qualité et sources de rendement et des rendements élevés provenant des loyers et bénéfices commerciaux immobiliers.
fairvesta Holding AG Konrad-Adenauer-Straße 15, 72072 Tübingen +49 7071 3665100
fairvesta profitent de situations exceptionnelles, comme les ventes bancaires provenant de saisies, les partages d’héritage ou les ventes forcées, afin d’acquérir des biens immobiliers à des prix particulièrement avantageux. À la différence des investissements conventionnels dans des biens immobiliers, les investisseurs profitent chez fairvesta de délais sensiblement réduits entre les reventes. Ainsi, les biens immobiliers ne sont pas revendus, comme bien souvent, uniquement après 10 ou 20 ans mais, en moyenne, après trois à cinq ans. Pour ce faire, fairvesta mise sur la qualité et des critères stricts d’investissement ont été définis : les investissements sont exclusivement opérés en Allemagne dans des biens immobiliers de qualité et rentables, exempts de toutes dettes et charges. Lesdits biens ne doivent aucunement faire l’objet de travaux d’assainissement et de modernisation. Le prix d’achat ne doit pas excéder au maximum 70 pour cent de la valeur vénale actuelle. Le rendement moyen annuel des biens en question doit s’élever à au moins dix pour cent du prix d’achat. Le fonds de fairvesta, tout comme le fonds de commerce immobilier actuel Mercatus X, ont ainsi simultanément deux sources de gains : les loyers courants et les profits commerciaux réalisés.
Tous les biens du fonds sont financés exclusivement au moyen de capitaux propres. Cela minimise sensiblement les risques liés au marché des capitaux par rapport aux produits levés. Les investisseurs ne sont ainsi aucunement tenus par le bon vouloir des banques. L’utilisation illimitée des ressources et le contrôle du suivi de celles-ci par le biais d’une société neutre d’expertise comptable garantissent le respect des directives de placement rigoureuses tout au long de la durée. Par ailleurs, l’approbation du conseil des investisseurs est obligatoire pour chaque investissement. Chaque investisseur a par ailleurs un droit garanti de regard dans les livres comptables, grâce auquel il peut s’informer sur l’état de sa participation.
Pour le fonds spécial Mercatus X, fairvesta table un rendement annuel à deux chiffres. Il correspond aux rendements effectifs du fonds précédent. Malgré la crise financière, les investisseurs de la « deuxième société de participation immobilière de fairvesta », un ancien fonds de la gamme Mercatus, ont dégagé sur les cinq dernières années un rendement annuel de 12,37 pour cent. Les prévisions réalisées par fairvesta ont été dépassées. Le fonds de commerce immobilier créé en 2005 a été liquidé en 2011 et les avoirs ont été versés aux investisseurs.
En France, les fonds immobiliers fermés et donc leurs actions peuvent être vendus en France uniquement par l’intermédiaire de courtiers immobiliers agréés, conformément à la « loi Hoguet ». Aucune autre autorisation de l’Autorité des marchés financiers (AMF) n’est nécessaire pour l’apporteur. Le prospectus d’émission pour le fonds immobilier Mercatus a été homologué en Allemagne par l’Autorité fédérale allemande de surveillance des services financiers (BaFin), conformément à la directive fédérale allemande « prospectus ». Comme il n’existe pas de fonds immobiliers fermés en France comme en Allemagne, l’AMF a reçu très fréquemment des demandes relatives à fairvesta, notamment dans la phase de démarrage de la commercialisation. Les barrières linguistiques et différences entre le marché des placements de capitaux allemand et français, associées à la méconnaissance des produits allemands, ont nécessité de la part des Français des besoins plus importants en clarifications.
Il existe bien entendu, comme pour chaque placement de capitaux, des chances et des risques. Ainsi, » tous les courtiers immobiliers intéressés sont soigneusement formés, à la base puis au fil du temps, avant d’obtenir une licence de commercialisation de fonds immobiliers. » Explique Monsieur Hermann Geiger, et de souligner que « Les investisseurs en France auraient dû rechercher des alternatives lucratives, notamment au vu de la crise de l’euro, la crise financière et la crise de la dette. Pour ce faire, fairvesta propose, grâce à des biens immobiliers de qualité et rentables, exempts de toutes dettes et charges et des biens immobiliers provenant de la niche de marché des ventes suite à des saisies bancaires, des alternatives exceptionnelles pour les investisseurs en biens immobiliers sur le marché français. »
Le marché des assurances et des finances français ne se différencie pas du marché allemand que par la langue. En Allemagne le niveau d’exigences de commercialisation est tellement élevé que peu d’entreprises arrivent à remplir ces conditions. Fairvesta connait depuis plusieurs années beaucoup de succès en France et a ouvert ses bureaux sur les Champs Elysées en 2011. Tandis que les fonds fermés en Allemagne représentent une part importante du portefeuille des clients privés, plus de 195 milliards d’euros dans le domaine immobilier, ce genre de placement est pratiquement inconnu en France. Pourtant fairvesta International France a réussi à se positionner avec succès sur le marché français et à faire profiter de ce positionnement unique à ses clients.
Ce marché de niche cause quelques soucis aux autorités françaises chargées de réguler le marché financier.
Les exigences juridiques des différentes catégories de placement dans la finance et les assurances sont les suivantes :
Les participations immobilières « Mercatus » sont exclusivement investie en Allemagne dans de l’immobilier de rendement, de qualité et surtout sécurisé. Ainsi, l’investisseur devient co-propriétaire de la société Mercatus, qui, elle, demande à fairvesta d’acheter des immeubles fortement décotés, de s’occuper de la gestion des locataires et de vendre ces immeubles au plus près de la valeur d’expertise. Donc, l’investisseur est également propriétaire des immeubles puisque ces derniers sont inscrits au registre foncier au nom de la société Mercatus, qui elle appartient aux investisseurs.
C’est grâce à son tissu relationnel, notamment parmi les banques allemandes que fairvesta peut, acquérir des biens immobiliers à des conditions particulièrement intéressantes. Ceci permet de revendre ces immeubles après une durée de trois ans en moyenne avec une marge de bénéfice importante. De plus, durant cette période, l’investisseur peut compter sur un rendement locatif plus élevé que la norme, en raison de l’achat bon marché des immeubles. La distribution de participations immobilières en France n’est possible que par les détenteurs de la carte de transaction dite « carte T ». Ceux-ci doivent également passer un examen chez fairvesta Academy afin de valider certaines connaissances sur les produits. Seul celui qui a passé avec succès ces examens peut et a le droit d’exercer en tant qu’agent immobilier chez fairvesta. La qualité du conseil auprès du client est ainsi assurée. Comme le mentionne l’AMF dans tous ces communiqués nous concernant, nous ne sommes pas soumis à leur autorité.
Les obligations immobilières « Maximus » sont émises par fairvesta Europe II AG. Ces titres proposent des taux d’intérêt élevés et sécurisés et offrent en plus une compensation complète de l’inflation réelle selon l’indice européen des prix à la consommation harmonisé dans le domaine de l’immobilier, tant sur les intérêts que sur le capital. Le capital est garanti par une hypothèque en premier rang pour l’investisseur, et les intérêts sont garantis eux par la séquestration des loyers. Les immeubles sont également acquis à une valeur largement au-dessous de la valeur d’expertise.
La société fairvesta Vermögensverwaltungsgesellschaft International AG avec son siège à Triesen au Liechtenstein, responsable de la commercialisation, bénéficie d’une autorisation dans tous les pays visés, y compris en France. A la différence des participations Mercatus, les obligations Maximus sont des papiers valeurs. Ces titres sont commercialisés exclusivement par des banques, entreprises françaises ou courtiers (CIF) autorisés par l’AMF. Les obligations « Maximus » sont enregistrées depuis 2010 auprès de l’AMF comme le montre le lien suivant :
Les clients attirés par les assurances peuvent bénéficier d’une police d’assurance immobilière « Robustus privilège » et de nombreux avantages eu égard aux assurances vie ou polices de fonds traditionnelles. Le partenaire de Robustus France Sarl, siégeant également sur les Champs Élysées à Paris, est une société du Liechtenstein dans le domaine de l’assurance vie. Cette dernière est inscrite officiellement auprès de l’ORIAS et sa commercialisation passe uniquement par des courtiers d’assurances inscrits á l’ORIAS.
Avec ces trois formes de stratégie d´investissements et de participations différentes, les clients bénéficient de produits d’assurances, de finances et immobiliers rentables et sécurisés, qui depuis longtemps en Allemagne ou d’autres pays de l’Union européenne représentent une forme de placement en capital apportant des bénéfices.
Le succès prouvé depuis 10 ans du concept fairvesta effraie à juste titre de nombreux concurrents. Pourtant nous ne pouvons pas comprendre que des avertissements aux investisseurs soient publiés au travers des autorités officielles parlant de risques encourus. Or justement le risque est la base de notre concept, de notre formation, de notre dialogue de vente qui dit aux clients : « n’investissez que dans des valeurs réelles dont vous comprenez comment sont générés les rendements ». Oui, nous pouvons obtenir des rendements tout en ayant la sécurité ! « En raison du modèle d’entreprise lucratif, transparent, respectant les différentes législations nationales, la commercialisation fairvesta ne sera pas freinée » affirme Monsieur Hermann Geiger, membre du comité directeur du Groupe fairvesta.
Avec l’arrivée de fairvesta sur le marché, les autorités françaises sont confrontées à des concepts innovants qui ne peuvent se comparer aux produits traditionnels. Ceci expliquant les réactions.
« Nous demandons aux autorités françaises et aux chambres regroupant les conseillers en gestion de patrimoine leur soutien pour la création de nouveaux standards. Nous sommes convaincus, à travers nos expériences exceptionnellement positives dans l’Union Européenne, de pouvoir apporter une contribution clé » résume Charles Jeandupeux, directeur fairvesta International France.